Catherine Paul (Sorbonne)
Catherine
PAUL
Directrice d'études
Section : Sciences de la Vie et de la Terre
Thématiques :
Oncologie - immunologie

Biographie

Depuis qu'elle a intégré le laboratoire d’immunologie et immunothérapie des cancers (LIIC) à Dijon, elle travaille sur l’effet anti-tumoral du monoxyde d’azote (NO) utilisé seul ou en combinaison avec des chimiothérapies standards ou innovantes.

Après avoir étudié l’effet anti-tumoral du NO produit par la NO synthase inductible (NOS II) en utilisant un Lipide A (OM-174), son projet porte maintenant sur la capacité d’un donneur de NO, le Glyceryl Trinitrate (GTN), à augmenter l’efficacité anti-tumorale de chimiothérapies utilisées dans le traitement de cancers solides. Les résultats obtenus en préclinique, lui ont permis de mettre en évidence un rôle immunomodulateur du GTN. Le but de son projet consiste à comprendre comment le GTN peut potentialiser l’effet de chimiothérapies et comment cela peut impacter l’efficacité d’immunothérapies ciblant les points de contrôle immunitaire (anti-PD-1).

Afin de pouvoir déterminer quels seront les patients bons répondeurs à ce type de traitements, elle développe également des agents imageables ciblant les biomarqueurs d'efficacité des immunothérapies anti-cancéreuses et également utilisables en clinique pour de la chirurgie assistée par fluorescence.

Cours et conférences

Programmes de recherche

Participation en tant que partenaires à des programmes Européens FEDER (BIOCAIR), nationaux tels que les ANR (SPID, WAZABY, BIOCAIR, DLLICATE), et soutenue en tant que porteur de projet par la Ligue contre le Cancer.

Depuis qu'elle a intégré le laboratoire d’immunologie et immunothérapie des cancers (LIIC) à Dijon, elle travaille sur l’effet anti-tumoral du monoxyde d’azote (NO) utilisé seul ou en combinaison avec des chimiothérapies standards ou innovantes.

Après avoir étudié l’effet anti-tumoral du NO produit par la NO synthase inductible (NOS II) en utilisant un Lipide A (OM-174), son projet porte maintenant sur la capacité d’un donneur de NO, le Glyceryl Trinitrate (GTN), à augmenter l’efficacité anti-tumorale de chimiothérapies utilisées dans le traitement de cancers solides. Les résultats obtenus en préclinique, lui ont permis de mettre en évidence un rôle immunomodulateur du GTN. Le but de son projet consiste à comprendre comment le GTN peut potentialiser l’effet de chimiothérapies et comment cela peut impacter l’efficacité d’immunothérapies ciblant les points de contrôle immunitaire (anti-PD-1).

Afin de pouvoir déterminer quels seront les patients bons répondeurs à ce type de traitements, elle développe également des agents imageables ciblant les biomarqueurs d'efficacité des immunothérapies anti-cancéreuses et également utilisables en clinique pour de la chirurgie assistée par fluorescence.