Agnieszka Kedzierska Manzon
Agnieszka
KEDZIERSKA MANZON
Directrice d'études
Section : Sciences religieuses
Chaire : Anthropologie religieuse de l'Afrique subsaharienne
Thématiques :
Anthropologie Religions, croyances et spiritualités

Biographie

Agnieszka Kedzierska Manzon est anthropologue et africaniste. Formée en Pologne (Université de Varsovie), en France (EHESS, INALCO) et aux États-Unis (Université de Californie à Berkeley), elle a également enseigné dans ces trois pays.

 

Directrice d’études à l’EPHE depuis 2018, elle est membre de l’Institut des Mondes Africains (IMAf) et chercheuse associée (non-résidente) de la Smithsonian Institution, sise à Washington DC.

 

Depuis 1995, elle mène ses enquêtes ethnographiques auprès des spécialistes religieux «traditionnels » actifs en pays mandingue (Afrique de l’Ouest), en s’intéressant aux dieux-fétiches, aux pratiques de la société initiatique des chasseurs-donsow et, plus récemment, au culte de possession jinɛdɔn. Sur le plan conceptuel, ses recherches portent sur les matières à croire, le corps rituel et la base somatique du religieux, la parole efficace, ainsi que la conceptualisation du divin, de la matière, du vivant et des plantes, en s’inscrivant dans le domaine de l’anthropologie pragmatique du rituel, du corps et du langage.

 

Son projet de recherche actuel de même que ses conférences de l’année 2021-2022 ont pour objet les transformations en cours des pratiques et des formes d’expertise rituelle au sud du Sahara où prolifèrent de « nouveaux entrepreneurs religieux qui postulent les "retour aux sources" et dont l’activité pourrait être considérée comme une sorte de New Age afro-centré.

Agnieszka Kedzierska Manzon est anthropologue et africaniste. Formée en Pologne (Université de Varsovie), en France (EHESS, INALCO) et aux États-Unis (Université de Californie à Berkeley), elle a également enseigné dans ces trois pays.

 

Directrice d’études à l’EPHE depuis 2018, elle est membre de l’Institut des Mondes Africains (IMAf) et chercheuse associée (non-résidente) de la Smithsonian Institution, sise à Washington DC.

 

Depuis 1995, elle mène ses enquêtes ethnographiques auprès des spécialistes religieux «traditionnels » actifs en pays mandingue (Afrique de l’Ouest), en s’intéressant aux dieux-fétiches, aux pratiques de la société initiatique des chasseurs-donsow et, plus récemment, au culte de possession jinɛdɔn. Sur le plan conceptuel, ses recherches portent sur les matières à croire, le corps rituel et la base somatique du religieux, la parole efficace, ainsi que la conceptualisation du divin, de la matière, du vivant et des plantes, en s’inscrivant dans le domaine de l’anthropologie pragmatique du rituel, du corps et du langage.

 

Son projet de recherche actuel de même que ses conférences de l’année 2021-2022 ont pour objet les transformations en cours des pratiques et des formes d’expertise rituelle au sud du Sahara où prolifèrent de « nouveaux entrepreneurs religieux qui postulent les "retour aux sources" et dont l’activité pourrait être considérée comme une sorte de New Age afro-centré.