photo-chabert
Michèle
CHABERT
Maître de conférences
Section : Sciences de la Vie et de la Terre
Thématiques :
Neurosciences et Sciences cognitives

Biographie

Après sa thèse (1985), Michèle CHABERT travaille sous la direction de Jacques Le Magnen puis de Jeanine Louis-Sylvestre, dans le laboratoire EPHE de Neurophysiologie Sensorielle et Comportementale. Cette équipe a eu plusieurs adresses : Collège de France, Université Paris 6 Jussieu, Faculté de médecine Paris 7 Bichat puis Faculté de médecine Paris13 Bobigny, mais a toujours étudié les mécanismes du contrôle du comportement alimentaire et de la régulation du bilan d’énergie, à la fois sur le modèle Rat et chez l’Homme sain : (1) confirmation de la théorie glucostatique de Jean Mayer (1953) : le signal de faim qui déclenche le repas chez le sujet nourri et non perturbé, est une hypoglycémie responsable de la glucopénie cellulaire perçue par des cellules glucosensibles du cerveau ; (2) l’apprentissage est essentiel au contrôle du comportement alimentaire.

 

En 2003, Michèle Chabert rejoint le laboratoire de Pharmacologie et Biologie Cellulaire de l’EPHE, au Centre de Recherche des Cordeliers (INSERM, Paris 6, Paris 5), pour étudier le métabolisme des lipoprotéines de haute densité (HDL) sur des modèles de souris transgéniques KO pour l’apoprotéine AII murine et qui expriment le gène normal ou muté de l’apoprotéine AII humaine.

 

En 2019, M. Chabert rejoint le laboratoire CHArt (Cognitions Humaine et Artificielle ; Paris 8, EPHE, Paris 12) pour étudier la mise en place des rythmes alimentaires chez le nouveau-né et l’impact éventuel du Milieu culturel et social sur ces processus physiologiques.

Après sa thèse (1985), Michèle CHABERT travaille sous la direction de Jacques Le Magnen puis de Jeanine Louis-Sylvestre, dans le laboratoire EPHE de Neurophysiologie Sensorielle et Comportementale. Cette équipe a eu plusieurs adresses : Collège de France, Université Paris 6 Jussieu, Faculté de médecine Paris 7 Bichat puis Faculté de médecine Paris13 Bobigny, mais a toujours étudié les mécanismes du contrôle du comportement alimentaire et de la régulation du bilan d’énergie, à la fois sur le modèle Rat et chez l’Homme sain : (1) confirmation de la théorie glucostatique de Jean Mayer (1953) : le signal de faim qui déclenche le repas chez le sujet nourri et non perturbé, est une hypoglycémie responsable de la glucopénie cellulaire perçue par des cellules glucosensibles du cerveau ; (2) l’apprentissage est essentiel au contrôle du comportement alimentaire.

 

En 2003, Michèle Chabert rejoint le laboratoire de Pharmacologie et Biologie Cellulaire de l’EPHE, au Centre de Recherche des Cordeliers (INSERM, Paris 6, Paris 5), pour étudier le métabolisme des lipoprotéines de haute densité (HDL) sur des modèles de souris transgéniques KO pour l’apoprotéine AII murine et qui expriment le gène normal ou muté de l’apoprotéine AII humaine.

 

En 2019, M. Chabert rejoint le laboratoire CHArt (Cognitions Humaine et Artificielle ; Paris 8, EPHE, Paris 12) pour étudier la mise en place des rythmes alimentaires chez le nouveau-né et l’impact éventuel du Milieu culturel et social sur ces processus physiologiques.